Le Gabon est à la croisé des chemins. Le pouvoir émergenticide d'Ali Bongo est évanouissant et presque trépasiste et le règne des Bongo est désormais une vieille histoire. Le dire ne saurait être de la mauvaise foi au sens sartrien du terme. Mais un réalisme qui frise le déjà là, c'est-à-dire l'évidence.
En effet, pour ceux qui ont encore des attaches villageoises savent que quand les feuilles d'une plante jaunissent, c'est que soit la plante est arrivé en maturité, soit elle est malade et doit être coupée car elle ne sert plus à rien et ne pourra être bénéfique à l'agriculteur.
Et nous voici en plein dans le dernier cas. Ali Bongo et ses Ouailles sont malades, sa soeur aussi et leur famille souffrent de la jaunisse, Il faut les couper car ils ne servent plus à rien, leur maturité n'est pas pour demain.
L'Affaire Pierre PÉAN, à travers son livre n'est que le diagnostique qui vient confirmer l'état démentiel qui auréole la famille Bongo et la solcellerie politique du pouvoir émergenticide représenté par Alain Bongo.
Le pêché de PÉAN est simplement d'avoir pris son stylo pour écrire des mots. Mais ces mots sont porteur de sens. C'est cete signication qu'a pu saisir la Caste Bongo, pour ce liguer, telles des Pies devant le danger PÉAN.
Aussi, si l'intelligence n'est pas la chose la mieux partagée chez les Bongo, la candeur d'esprit ne saurait habiter Mferri Bongo. Car la Communauté nationale et internationale n'ont pas compris le "pascalinisme" voluptueux dont s'est lancé le dernier directeur de Cabinet d'Omar Bongo.
Mais bon Dieu, quellle mouche tsé-tsé du Lac Azingo a pu piquer cette démoiselle pour venir " pascaliner " sur des Armoiries dont elle ne maîtrise rien du tout, malgré son virtuel passage à l'ENA de France ?
Pourquoi dénaturer la sémantique des Valeurs Républicaines qui contournent nos Armoiries ?
Le sujet de la prétendue nationalité de son "petit-frère" avait-il un rapport avec les Armoiries de la République ? On l'aurait donc compris, lorsqu’un serpent se découvre sur une pirogue, l'équipage saute dans tous les sens, question pour chacun de sauver sa peau.
Alors, nous appelons les enseignants d'Histoire et d'Education civique a revoir leurs cours, pour introduire cette reformulation de nos Armoiries et demander pardon aux élèves pour leur avoir enseigné des faussetés des années durant.
Ou alors descendre dans la rue pour dénoncer l'imposture Alienne et Pascalinienne, au côté du Front Uni de l'Opposition pour l'Alternance. Mais où est l'historien falsificateur avéré de l'histoire du Gabon ?
Où est donc Ange Ratanga Atos, pour oser dénoncer pour la première fois de sa vie, le pouvoir délirant des Bongo, face à la trahison de l'histoire du pays ?
En attendant, la peur gagne horriblement le Bord de mer et Bilié by Nzé et compagnie ne savent plus comment faire pour redresser le pouvoir émergenticide d'Ali Bongo qui, inexorablement, tombe dans le "trépasitose infernale", où des comptes seront demandés par le Peuple gabonais et la Cours pénale internationale.
Alors Ali Baba où est ton vrai acte de naissance ? Est-tu vraiment sans papiers prouvant tes origines ?
C'est vraiment Misérablement accablante, cette situation. Un "président" sans origines. Non, plutôt aux origines douteuses.
C'était juste une analyse.
À bientôt !!!
Davy Ghislain MOTONGO
Coordonnateur National Adjoint, chargé des
Ressources Humaines et des Procédures Administratives
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